Une rencontre singulière et intimidante [Nero/Garett]

Attablé a sont bureau,Garett ne semblait pas s'intéresser au monde extérieur et repensait sans cesse a cette nuit qu'il avait vécu avec cette ministre dans le QG des armées.Il se souvenait tout en gribouillant des note inutiles sur un bout de parchemin abimé lorsqu'il entendit frapper a la porte de sont bureau.Il reprit alors conscience qu'il avait eu une demande d'un de ses nouveau élu de guerre d'une entrevue pour parler d'une affaire de nouveau régiment de combat spécialiser...Les détail lui avait échapper.Se souvenant ainsi du rendez-vous.Il rangea dans la plus grande discrétion sont capharnaüm et appuya sur un bouton situer sont sa table de chevet,déclenchant un micro sur lequel il aprocha sa bouche et déclara distinctement:
"M.Ambigal?"

Nero sursauta légèrement. Fort heureusement la disparition aussi tragique qu'obscure de son uniforme lui permit de ne pas se faire étrangler par ses propres vêtements.

*Tsss sa commence bien*

Il inspira une grande bouffée d'oxygène et fit en sorte que sa voix de trahisse aucune tension.

"Soldat Nero Ambigal au rapport mon Général, je suis venu pour vous exposer les spécificités de mon unité monsieur."

Sur un ton sec il répondit très strictement et dans les règles militaires:
"Veuillez entrez."
Puis il appuya sur un interrupteur qui déclencha un mecanisme d'ouverture de la porte principale du bureau.
Le bureau était grand tapisser sur les mur de papier peint bordeaux et avec a terre,des dizaines de tapis fait main qu'il avait rapporter de ses nombreuses campagnes qui cachait le métal du sol.les meuble(peu nombreux)était tous fait de verre et de métal avec sur le bureau de travail,un ordinateur tactile et plusieurs plan holographiques en 3 dimension de champs de bataille ou de zones secrète surveiller en permanence par le généralissime lui même.sur les murs,était placarder des armes et des lampes de décoration moderne et au fond une cheminer imposante dans lequel flamboyait un feu éclatant.
Il enleva prestement les plan de sont bureau et fit mine de s'intéresser a l'arrivant.

Nero entra dans un bureau sans superflue et froid tout comme le propriétaire des lieux. Il était intimidant. Nero qui n'était pas très à son aise en entrant senti son cœur faire des cabrioles dans sa poitrine et ce n'était pas une sensation très agréable. Il se mit au garde-à-vous et sa manche découvrit son bras. Il eu un sourire gêné.

"Veuillez m'excusez mon Général mais mon uniforme me comprime un peu trop, j'ai pris l'initiative de l'abandonner lâchement à ma famille."

Il reprit un peu de son sérieux.

"En ce qui concerne l'unité, par quoi voulez-vous que je commence ?"

Le général se leva de sont siège et posa les main en appuie sur sont bureau.

"Repos soldat!"

Il vit sont uniforme et découvrit a sont tour sa manche.compressa légèrement sont bras et ont vit apparaitre des fils et un liquide blanc.Il retroussa sa manche et lança

"En temps normal,je vous aurait consigner pour cela,mais par chance je connait votre handicape.je tacherait de vous trouver un uniforme approprier."

Il lui fit signe de s'assoir et en fit de même sur sont fauteuil.puis commença

"Et bien exposer moi tout dabord vos idée et suggestions."

"Euh, ma première suggestion est de me laisser mon manteau si cela ne vous dérange pas, et mon bras n'est pas handicap mon Général, au contraire."

Il eu un petit rire gêné et remit sa manche en place. Il sortit un carnet de sa poche et s'assit.

"Bien, tout d'abord je tiens à vous rappeler que le point fort de cette unité c'est la vitesse et c'est ce même facteur qui fait défaut aux elfes sur le sol, l'air étant le domaine de leurs dragons. Ont peut tout naturelement foncer en 1ere ligne pour s'infiltrer au cœur de leurs formations et, ainsi, les désorganiser. Cependant je pense que cette 1ere option n'est pas la plus à même d'exploiter nos capacités, je pense en effet que nous pourrions être très efficaces dans deux cas de figures. Nous en avons discuter entre-nous et voici nos deux plans. Sois nous partons avant le contact des troupes au corps à corps en étant divisé en deux escadrons pour harceler les flancs. Sois nous partons après que la boucherie commence et là, ont leur retaille les oreilles par derrière, coupant ainsi une partie de leur fuite possible. Qu'en pensez vous mon Général ?"